Les pongistes du Réveil chambonnaires sont allés rendre visite aux joueurs de la Palette Noroit à Anderlech. Une rencontre appréciée qui fait suite à une histoire d’amitié qui a débuté sur internet et qui avait pris corps lors de la venue des pongistes belges l’an dernier.
Le souvenir de la visite des belges, une fois, il y a un an, était toujours bien ancré chez les pongistes du Réveil chambonnaire qui avaient organisé pour les fêtes de Pâques cette année un déplacement retour dans ce club fort sympathique. Ils s’attendaient à un accueil chaleureux, il le fut au dela de tout ce qu’ils avaient pu imaginé. Le nombre de participants chambonnaire à cet échange était malheureusement bien faible par rapport à l’équipe belge qui s’était déplacée, mais les huit qui avaient fait le déplacement (quatre joueurs et leurs épouse ou conjointes) ont fort bien représenté le club qui s’adjugeait même le tournoi organisé pour leur venue (lire par ailleurs). Après une nuit de route et plus de 800 km, la petite troupe chambonnaire rencontrait les joueurs de La Palette Noroit dans leur fief, à Anderlech l’une des dix neuf communes de Bruxelles. Elle était accueillie par Louis Vandenbroeck président fondateur, Jean Niederprum président actuel, Jean-Pierre, Robert, Guy et toute une équipe, avec épouses et mamans, qui se mit vraiment « en quatre » pour les français ». C’était le début de deux jours de retrouvailles, de fêtes. Les amis belges avaient vraiment bien préparé ces deux jours de réception, accueil dans leur salle, repas pris sur place, tournoi, remise des récompenses, réception suivi d’un américan-frite (un tartare de bœuf-frite) le tout accompagné d’une amitié toujours grandissante. Après l’effort, la découverte, celle de la capitale belge le dimanche avec le site ou se cotoient l’atomium, le stade du Heysel, le palais royal et bien sur le légendaire « Manneken-piss », enfin tout ce qui fait le charme, la beauté de cette ville. Un excellent moment passé avec un guide professionnel qui commentait chaque lieu avec le réputé humour bruxellois. Un dernier repas ensemble suivi d’un dernier verre et d’une dernière chanson sur la place du quartier, (il était vraiment dur de se quitter après ces deux jours), et les chambonnaires reprenaient la route du retour après une nuit réparatrice à l’hotel. A l’heure des embrassades, chargées d’émotion, il était bien sur question d’une nouvelle visite des belges au Chambon-Feugerolles. L’amitié entre les deux clubs, née sur la toile d’internet, il y a deux ans va continuer à s’épanouir au fil du temps. Christian Varillon